Départ de la gare de la ville dieu du temple pour nous rendre sur les terres gaillacoises. Le temps s'annonce plus clément que ce que la météo nous laissait pressentir.
tous le monde est équipé et prêt à en découdre
A peine le temps de s'échauffer que nous attaquons déjà une magnifique côte pour atteindre notre première escale au domaine de Vayssette. Première occasion de gouter le gaillac primeur et de faire nos premières emplette.
Dans la matinée, nous aurons l'occasion de faire trois nouvelles haltes pour nous ravitailler, il fallait bien ça pour grimper à Campagnac
comme d'habitude, en bon soldat nous avons envoyé les grimpeurs en éclaireurs
Une fois le terrain reconnu, le gros de la troupe suit (péniblement)
après notre dernière cave, direction Noaille pour le rejoindre le Bouscaillou pour nous restaurer.
Avant de nous restaurer, séance de déshabillage en pleine nature pour mettre des vêtement chaud
Stand ouverture des huitres et châtaignes grillées
Installation au resto, pas de mélange, les femmes d'un côté, les hommes de l'autre, on ne mélange pas les serviettes avec les torchons
voilà les serviettes
et le reste
l'accordéoniste nous a mis une ambiance du tonnerre
aussi bien du côté des femmes
que des hommes
et puis il est toujours difficile de résister à l'appel de l'accordéon.
Marie-Pierre s'est laisser envouter et a saisi l'accordéon qu'on lui tendait.
André s'est lâché à son tour
Il a quand même fallu quitter ce petit nid douillet et reprendre nos montures pour terminer notre parcours.
arrivé a quelques encablures de la fin de notre circuit, nous nous sommes inquiété de savoir ou nos femmes en étaient de leur visite de corde sur ciel; c'est bien connu, les femmes ne sont jamais en retard, elles sont simplement retenues mais par quoi ?
Un bon chocolat bien sûr
Il y a quand même de sacrées gourmandes dans le lot
comme la dégustation prend du temps, Patrice a eu la bonne idée de nous amener sur les terres de ses ancêtres. Il nous avait bien parlé d'une côte mais sans nous dire qu'il y avait du 11% sur une bonne distance. Arrivé au sommet, il n'y avait plus qu'une seule descente pou rejoindre le parking.
quand ça sent l'écurie il est difficile de retenir les chevaux et nous avons avalé cette descente a plus de 60km/h.
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Nos femmes de leur côté nous ont accompagné lors des premières caves puis se sont échappées pour aller visiter Castelnau de Montmirail
L'après midi elles sont allé à Corde sur Ciel mais la seule photo qu'elles ont prise pour immortaliser le lieu est celle du chocolat viennois
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un petit mot sur le circuit
18km de côtes pour 22km de descentes.
petite moyenne de 21km/h sur le vélo
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Bilan de la journée
encore une sortie décentralisée parfaitement réussie. Tout était réuni pour passer une excellente journée.
Le temps frais mais sans vent avec un peu de soleil, des côtes toujours bien pentues. Du vin à déguster, une halte déjeuner dans une ambiance de folie.
Les épouses ont pu profiter de leurs visites dans la bonne humeur.
Espérons que ceux qui n'ont pu participer ne regretterons pas leur absence. Nous les embarquerons la prochaine fois.
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