Cette année encore le souvenir de Christian est toujours présent dans nos mémoires et pour l'honorer, il a été décidé de gravir le col du portillon non loin de Bagnères de Luchon.
Le circuit part de Bagnères pour gagner Cierp Gaut, puis Saint Beat et enfin Bossost au pied du col.C'est là que commence l'ascension avec ses 8km avec des pentes entre 8 et 10%.
C'est donc tôt que nous avons pris la route pour nous rendre au pied de ce col mythique. Arrivé sur place, après un bon café nous sommes prêt à prendre la route.
Jusqu'à Cierp Gaut le trajet est plutôt descendant nous avons donc roulé à bonne allure 26 ou 27kmh.
la route vers Saint Béat et enfin Bossost est elle plutôt à dominante montante ce qui permet de chauffer les muscles.
Arrivé à Bossost, nous sommes au pied du col et nous attaquons maintenant la montée de 8km
Là, pas de bagarre, chacun trouve son rythme, et serre les dents,
à mi parcours, courte halte photo près du mémorial des grands grimpeurs espagnols
reprise de l'ascension avec des pentes toujours plus raides jusqu'au sommet.
Enfin la délivrance, l'arrivée au sommet. Séance photo pour honorer la mémoire de Christian avec mise en évidence de la photo réalisée par Sylvie
Après cet effort, la descente s'effectue à vitesse grand W (v n'était pas suffisant) 63km/h pour certains. A cette vitesse là pas question de regarder le paysage, les yeux sont rivés sur la route car les virages sont parfois serrés et demande une attention de tous les instants.
Arrivés en bas de la côte, il nous manquait les femmes, Elles, elles avaient pris le temps pour aller voir la cascade située sur la descente.
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Durant notre effort, les épouses ont profité de notre absence pour visiter la ville et ses alentours sous la houlette de Chantal qui connait les lieux mieux que personne.
enfin une sculpture pour immortaliser le trou du cul du monde
Il était temps de reconstituer notre stock de calories perdues dans l'ascension, nous nous sommes donc retrouvés dans la brasserie que ALI avait pris soin de nous réserver.
C'est dans la bonne ambiance que nous avons déguster notre repas
Pour ceux qui ne restaient pas sur place il était temps de reprendre le chemin du retour vers le bercail.
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Cette journée nous a permis de penser à Christian qui hélas nous a quitté trop vite
